🚨 100 % des cas d’autopsie « décédés subitement » sont liés de manière causale au vaccin COVID, selon l’examen
« Nous avons maintenant des preuves positives dans les autopsies dans des cas comme celui-ci : 100 % du temps, il s’agit d’une myocardite mortelle induite par le vaccin.
19 AOÛT 2023
Le monde a observé attentivement les conséquences de la campagne de vaccination contre le COVID-19, en particulier à la lumière des préoccupations préoccupantes concernant la myocardite induite par le vaccin. La vidéo ci-dessous présente les gros titres de jeunes qui s’effondrent et meurent de façon inattendue au cours des huit derniers mois seulement.
« Le monde entier est nerveux », a déploré le Dr Peter McCullough , cardiologue de renommée mondiale, « en regardant ce [phénomène de « mort subite »] ». Il a rejoint , sur The Highwire jeudi, expliquant comment la FDA savait, knew, à l’avance, que la myocardite induite par le vaccin allait être un problème.
Voici la chronologie :
• En octobre 2020, lors de sa réunion VRBPAC, la FDA a déclaré que la myocardite pourrait être une conséquence potentielle des vaccins COVID.
• En juin 2021, la FDA américaine a reconnu publiquement que les vaccins pouvaient provoquer une inflammation cardiaque ou une myocardite.
• Historiquement, la myocardite était une condition médicale connue, résultant parfois de virus comme le parvovirus et le coxsackievirus. Les patients diagnostiqués avec une myocardite étaient traditionnellement déconseillés de faire de l’exercice étant donné le risque d’arrêt cardiaque dû à une montée d’adrénaline, en particulier tôt le matin.
Cela nous amène aux préoccupations actuelles découlant de la vaccination contre le COVID-19.
Comme l’a souligné le Dr McCullough , il existe désormais un corpus substantiel de travaux – 800 articles évalués par des pairs , pour être précis – consacrés à la myocardite induite par le vaccin. Notamment, deux études de cohorte de Mansuguan et and Beurgin & Mueller ont indiqué une statistique inquiétante : après la vaccination, en particulier avec les deuxième et troisième doses, 2,5 % des participants présentaient des signes de lésions cardiaques. Compte tenu du nombre considérable de vaccinés dans le monde, cela se traduit par un nombre important d’individus.
La nature de ces dégâts est importante.
Les cœurs sains reposent sur un système de conduction électrique harmonisé, assurant une dépolarisation et une repolarisation uniformes. Tout dommage, même mineur, au tissu cardiaque peut perturber ce système. Ces dommages ou cicatrices peuvent entraîner une dépolarisation lente à travers la zone affectée, une condition qui prépare le terrain pour la rentrée. Cette rentrée peut entraîner une condition appelée tachycardie ventriculaire (TV), un rythme cardiaque rapide qui peut être observé chez les personnes touchées pendant de brèves durées. Si cet état se détériore davantage, il peut en résulter une fibrillation ventriculaire – une situation grave où la personne affectée peut s’effondrer soudainement.
Le Dr McCullough a souligné la gravité de ce scénario en faisant référence à un article du système de service de préimpression.
Les docteurs Peter McCullough , Roger Hodkinson, Aseem Malhotra et William Makis ont co-écrit une étude intitulée Autopsy Proven Fatal COVID-19 Vaccine-Induced Myocarditis avec Nicolas Hulscher de l’Université du Michigan. « Nous avons maintenant des preuves positives dans les autopsies dans des cas comme celui-ci : 100 % du temps , il s’agit d’une myocardite mortelle induite par le vaccin », a déclaré , le Dr McCullough. Leurs recherches ont confirmé que dans les cas d’autopsie où la myocardite induite par le vaccin était incluse comme cause possible de décès, 100 % du temps elle était causalement liée au vaccin.
Approfondissons cette étude :
Les auteurs susmentionnés ont effectué un examen complet de tous les rapports d’autopsie publiés détaillant la myocardite éventuellement liée à la vaccination contre le COVID-19 jusqu’au 3 juillet 2023. Trois examinateurs experts spécialisés en pathologie cardiaque ont évalué la causalité dans chaque cas.
Résultats : À partir d’un pool initial de 1 691 études, 14 articles répondaient aux critères d’inclusion, fournissant un total de 28 cas d’autopsie. Dans la majorité de ces cas (26 sur 28), seul le système cardiovasculaire était impacté. Pendant ce temps, dans 2 cas, la myocardite a été identifiée comme provenant d’un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS). Notamment, le délai moyen entre la dose finale de vaccin COVID-19 et le décès était de 6,2 jours, avec une médiane de 3 jours. La majorité de ces décès sont survenus dans la semaine suivant la vaccination. Remarquablement, après un examen indépendant, les 28 décès étaient liés de manière causale à la vaccination contre la COVID-19.
Si les affirmations et les conclusions détaillées dans cette étude sont incontestées, le vaccin COVID-19 pourrait être considéré comme la plus grande erreur médicale de l’histoire. Il demande instamment de reconsidérer l’équilibre entre les réponses sanitaires mondiales rapides et le potentiel de conséquences involontaires à long terme.
L’ épisode complet de The Highwire mettant en vedette le Dr Peter McCullough est disponible à regarder dans la vidéo ci-dessous :
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Morts après vaccination 