20% des patients tués dans l’établissement

Une infirmière révèle que le vaccin COVID a tué près de 20% des patients dans son établissement

Mais personne ne l’a remarqué car cela s’est produit sur une période de 3 mois de décès excessifs et personne ne surveillait les taux de mortalité.

STEVE KIRSCH12 AOÛT 2023

L’infirmière Nikki Hanna révèle que près de 20% des résidents de son établissement de soins infirmiers sont morts du vaccin COVID

Points clés:

  • Nikki Hanna est infirmière responsable depuis 32 ans.
  • Au cours de ses 32 ans d’histoire, elle n’a jamais rien vu de tel que ce qui s’est passé après le déploiement des vaccins COVID.
  • Installation de 100 personnes. Moy de 7 décès par an lorsque l’établissement est plein.
  • Pendant la pandémie, l’établissement a souvent accueilli entre 50 et 60 patients.
  • 2020 : 2 cas COVID mais aucun décès
  • Les vaccins COVID ont été déployés le 15 janvier
  • 90 % ont reçu un vaccin (personnel et résidents)
  • Au cours des 3 mois suivants, 11 patients sont décédés, mais l’attente normale est de 1 décès sur une période de 3 mois. Cela fait donc 10 décès supplémentaires et il y avait environ 50 patients résidents à l’époque, ce qui représente un  taux de mortalité supplémentaire de 20 %.
  • Aucune de ces personnes n’est décédée du COVID.
  • Nikki a déclaré qu’il n’y avait pas d’autre explication à la multiplication par 10 du taux de mortalité.
  • À l’époque, tout le monde était si occupé que personne ne s’est rendu compte qu’il y avait un taux de mortalité 10 fois supérieur.
  • Au début de la pandémie, 90 % du personnel voulait se faire vacciner.
  • Aujourd’hui, 0% du personnel soignant prendra le vaccin COVID. S’il est forcé, ils abandonneront.
  • Les dossiers de Medicare pour les décès dans son établissement ne correspondent PAS à ce qu’elle a personnellement observé. Hummm….

La mère d’un enfant qui a contracté le diabète de type I suite à l’injection d’un vaccin s’exprime

Debbie Nease est mère de trois enfants. Elle croyait au vaccin.

Mais ensuite, elle l’a donné à son fils qui a développé un diabète de type I quelques jours après l’injection du vaccin.

L’endocrinologue a dit qu’il ne pouvait pas comprendre ce qui avait fait que cet enfant était soudainement devenu diabétique. 

Debbie a compris. Plus de vaccins pour aucun de ses enfants.

Elle a déposé devant le tribunal des vaccins et a également tenté d’intéresser les législateurs à son projet de loi pour révéler la vérité sur les vaccins (Brayden’s Bill). Aucun intérêt d’aucun législateur.

J’ai suggéré que le message aux parents devrait être : NE PAS vacciner !

J’ai également suggéré que la distribution de l’excellent livre de Shannon Kroner à chaque cabinet de pédiatre serait une excellente activité.

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